La ruelle Fiston de Minotaure
Dans la ruelle Fiston de Minotaure,
Où les pavés résonnent de l’histoire,
Dans la lumière douce de l’aurore,
Naît une légende qu’il faut croire.
Les murs se dressent, anciens témoins,
De luttes, de rêves et de chants,
Chaque brique portant le parfum
Des espoirs d’un peuple, de ses enfants.
À chaque coin, un mystère se dévoile,
Une ombre danse sous la lune pâle,
Le souffle du Minotaure, puissant et doux,
Chuchote des secrets qu’on tait partout.
Fiston, petit héros des ruelles,
Grandit parmi les mythes et les merveilles,
Il sait que la force n’est pas que brute,
Mais dans l’amour et la lutte.
Sous le regard du ciel étoilé,
Il trace sa route, fier et décidé,
La ruelle murmure son nom avec tendresse,
Fiston, porteur de mille promesses.
Et chaque soir, sous les réverbères,
La ruelle Fiston de Minotaure se fait lumière,
Révélant à ceux qui veulent bien voir,
L’âme d’un quartier, riche en mémoire.
Source: ChatGPT
Dans la ruelle Fiston de Minotaure,
Où les pavés résonnent de l’histoire,
Dans la lumière douce de l’aurore,
Naît une légende qu’il faut croire.
Les murs se dressent, anciens témoins,
De luttes, de rêves et de chants,
Chaque brique portant le parfum
Des espoirs d’un peuple, de ses enfants.
À chaque coin, un mystère se dévoile,
Une ombre danse sous la lune pâle,
Le souffle du Minotaure, puissant et doux,
Chuchote des secrets qu’on tait partout.
Fiston, petit héros des ruelles,
Grandit parmi les mythes et les merveilles,
Il sait que la force n’est pas que brute,
Mais dans l’amour et la lutte.
Sous le regard du ciel étoilé,
Il trace sa route, fier et décidé,
La ruelle murmure son nom avec tendresse,
Fiston, porteur de mille promesses.
Et chaque soir, sous les réverbères,
La ruelle Fiston de Minotaure se fait lumière,
Révélant à ceux qui veulent bien voir,
L’âme d’un quartier, riche en mémoire.
Source: ChatGPT
Le berger landais et les graines de crapule
Dans les Landes verdoyantes, sous un ciel azuré,
Vivait un berger, à l’âme bien ancrée.
Ses brebis blanches, au pelage doux et pur,
Paissaient en paix, sous sa garde sûre.
Mais un matin tranquille, dans les champs verdoyants,
Des graines de crapule, invisibles aux passants,
Se glissèrent en secret, dans la terre fertile,
Cherchant à troubler la paix, d’un dessein vil.
Le berger landais, avec son bâton de houx,
Sentit une inquiétude, une menace en dessous.
Les brebis, autrefois calmes, se mirent à s'agiter,
Leurs bêlements tristes, le silence venaient troubler.
Armé de patience, et de son savoir ancien,
Le berger scruta la terre, et le moindre recoin.
Il déterra les graines, ces semences de discorde,
Les arracha une à une, avec des gestes d'accord.
Il savait que même le plus petit des maux,
Peut grandir et envahir, comme un cruel fardeau.
Il veilla sur ses terres, plus vigilant que jamais,
Pour que nulle graine de crapule ne puisse y trouver paix.
Les brebis retrouvèrent leur calme et leur chemin,
Guidées par leur berger, fidèle et serein.
Dans les Landes de France, sous le ciel azuré,
Le berger landais, les crapules avait chassées.
Dans les Landes verdoyantes, sous un ciel azuré,
Vivait un berger, à l’âme bien ancrée.
Ses brebis blanches, au pelage doux et pur,
Paissaient en paix, sous sa garde sûre.
Mais un matin tranquille, dans les champs verdoyants,
Des graines de crapule, invisibles aux passants,
Se glissèrent en secret, dans la terre fertile,
Cherchant à troubler la paix, d’un dessein vil.
Le berger landais, avec son bâton de houx,
Sentit une inquiétude, une menace en dessous.
Les brebis, autrefois calmes, se mirent à s'agiter,
Leurs bêlements tristes, le silence venaient troubler.
Armé de patience, et de son savoir ancien,
Le berger scruta la terre, et le moindre recoin.
Il déterra les graines, ces semences de discorde,
Les arracha une à une, avec des gestes d'accord.
Il savait que même le plus petit des maux,
Peut grandir et envahir, comme un cruel fardeau.
Il veilla sur ses terres, plus vigilant que jamais,
Pour que nulle graine de crapule ne puisse y trouver paix.
Les brebis retrouvèrent leur calme et leur chemin,
Guidées par leur berger, fidèle et serein.
Dans les Landes de France, sous le ciel azuré,
Le berger landais, les crapules avait chassées.
L'autruche et l'oppresseur
Dans la savane d'or, où souffle le vent,
Vivait une autruche, au cœur innocent.
Sa démarche lente, ses yeux écarquillés,
Observaient le monde, les cieux étoilés.
Mais un jour funeste, un oppresseur arriva,
Armé de cruauté, son ombre s'étendait là.
Il voulait dominer, il voulait écraser,
Tout être qui osait, en paix se poser.
L'autruche, fragile, mais au cœur vaillant,
Refusa de plier sous le joug écrasant.
Elle planta ses plumes dans la terre aride,
Fermant ses paupières, dans un geste candide.
L'oppresseur, furieux, de rage s'enflamma,
Mais l'autruche tenace, sa tête enfonça.
Non par lâcheté, ni par peur oppressante,
Mais pour se retirer dans sa paix résonnante.
Car parfois le silence, face à l'agresseur,
Est l'arme la plus douce contre la terreur.
L'autruche et l'oppresseur, un duel insolite,
Où la force brute succomba au non-dit.
source ChatGPT
"L'autruche et l'oppresseur, 2024, techniques mixtes, 15x15 cm
Dans la savane d'or, où souffle le vent,
Vivait une autruche, au cœur innocent.
Sa démarche lente, ses yeux écarquillés,
Observaient le monde, les cieux étoilés.
Mais un jour funeste, un oppresseur arriva,
Armé de cruauté, son ombre s'étendait là.
Il voulait dominer, il voulait écraser,
Tout être qui osait, en paix se poser.
L'autruche, fragile, mais au cœur vaillant,
Refusa de plier sous le joug écrasant.
Elle planta ses plumes dans la terre aride,
Fermant ses paupières, dans un geste candide.
L'oppresseur, furieux, de rage s'enflamma,
Mais l'autruche tenace, sa tête enfonça.
Non par lâcheté, ni par peur oppressante,
Mais pour se retirer dans sa paix résonnante.
Car parfois le silence, face à l'agresseur,
Est l'arme la plus douce contre la terreur.
L'autruche et l'oppresseur, un duel insolite,
Où la force brute succomba au non-dit.
source ChatGPT
"L'autruche et l'oppresseur, 2024, techniques mixtes, 15x15 cm